Nadia Boukreris : défendre l’opprimé
À 47 ans, Nadia Boukreris a eu plusieurs vies : couturière à Oran, femme au foyer aux multiples engagements bénévoles à Teisseire et maintenant médiatrice paire en santé.
Le réseau de l'info solidaire
À 47 ans, Nadia Boukreris a eu plusieurs vies : couturière à Oran, femme au foyer aux multiples engagements bénévoles à Teisseire et maintenant médiatrice paire en santé.
D’origine irakienne, Sattar vit en France depuis 2009. Il trace son chemin jour après jour dans ce pays d’accueil, son pays de cœur.
Pascal Dagneaux travaille à l’accueil de jour du Point d’Eau. Cet accueil permet d’accéder à des services de bases pour les habitants de la rue afin d’établir des passerelles avec la société. Sa spécificité : un coin douche et une laverie.
Militant depuis ses années lycées, Jérôme Rubes a endossé depuis 3 ans des responsabilités politiques pour la Métropole sur l’insertion et l’économie sociale et solidaire et à Saint Martin d’Hères.
À 52 ans, Patricia Dinet a eu plusieurs vies. Femme au foyer, technicienne informatique et maintenant auxiliaire de vie, principalement auprès de personnes âgées : un métier vocation pour cette femme de caractère.
À 38 ans, Laurie Chambon a vécu plusieurs vies : du détricotage des stéréotypes sexués à l’écriture des récits de vie des demandeurs d’asile, rencontre avec une femme engagée.
Accompagner des jeunes en quête d’avenir, c’est le quotidien de Karim Khadraoui, employé par la Mission locale de Grenoble. Tâche parfois ardue, qu’il affectionne dans son rapport humain aux autres.
Ce qui nous définit, ce n’est ni une situation sociale ni un statut, mais un parcours de vie… C’est pourquoi Le Bon Plan a créé la rubrique « Portraits » pour témoigner de la richesse et de la diversité de chacun. Une galerie de personnalités à découvrir.
Le jeune retraité de 61 ans l’exprime ouvertement et sans complexe, il n’aura travaillé que 4 ans durant toute sa vie d’actif.
Cette situation, Michel ne l’a pourtant pas spécialement recherchée, pas au début de sa vie d’adulte en tout cas. Rien à voir avec ces « chômeurs heureux » qui ont délibérément tourné le dos au travail.
David Constantin est un grand sportif. Cela frappe au premier contact, surtout en ces chaudes journées d’été grenoblois où il revêt la tenue tongues-bermuda-maillot moulant du club de rugby local. Mais dès que la conversation s’engage, une autre personnalité s’affirme, où domine son principal ressort dans la vie quotidienne : la découverte.