La Scierie, un récit anonyme

« Tant pis : il est trop tard », conclut le narrateur. Trop tard pour ne plus devenir celui qu’il est devenu en offrant deux ans de sa jeunesse au travail de force, entre la fin de ses études et l’appel sous les drapeaux, alors que rien dans son milieu social ou familial ne l’y prédisposait.