Zéro chômeurs longue durée… c’est possible ?
Simple expérimentation au départ, Territoires Zéro Chômeurs de Longue Durée (TZCLD) permet de « payer » des emplois avec les allocations prévues en cas de période de chômage de longue durée.
Le réseau de l'info solidaire
Simple expérimentation au départ, Territoires Zéro Chômeurs de Longue Durée (TZCLD) permet de « payer » des emplois avec les allocations prévues en cas de période de chômage de longue durée.
Redonner du travail aux chômeurs de longue durée en finançant leurs salaires avec l’argent de leurs aides sociales ; tel est l’audacieux transfert que se propose de réaliser la nouvelle loi « Territoires zéro chômage ».
Une proposition de loi a été adoptée par le Sénat le 18 juin visant à lutter contre la discrimination pour cause de précarité sociale.
Suite à la fronde et à la volée de boucliers qu’avait suscité la première mouture du plan Valls pour le redressement économique et sa ponction sur les prestations sociale, le Premier ministre annonçait lundi, dans une lettre aux parlementaires, les modifications de la loi, destinées à assurer son adoption, qui a eu lieu mardi 29 avril.
Après le vote, au terme d’un long périple, le 20 février dernier, de la loi Alur sur le logement (dite loi Duflot), dont Le Bon Plan avait résumé les grandes lignes, nous avons interrogé les associations et les syndicats sur la pertinence de la loi et sur la question de savoir si elle satisfait ses ambitions.
Après moult rebondissements et au terme d’un parcours qui a débuté l’été dernier, la loi de la ministre du logement Cécile Duflot, vient d’être définitivement adoptée par le Sénat jeudi 20 février. La loi porte le nom « Projet de loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové » (et est dite en ce sens loi ALUR), et ambitionne principalement de combattre la crise du logement que caractérisent l’augmentation des prix et la pénurie de logements.
Le 11 janvier 2013 a été signé un accord interprofessionnel modifiant certains fondements du code du travail. Cet accord a mené à un projet de loi adopté le 6 mars dernier en Conseil des ministres. C’est maintenant au Parlement de l’examiner. Cet accord pour l’emploi est fragilisé par la non-signature des syndicats CGT et FO, syndicats à l’origine des manifestations du mardi 5 mars. Certaines mesures de cet accord pourraient être mises en place dès mai prochain. Mais que contient cet accord pour l’emploi ?