Ce sont les livres qui font le printemps à Grenoble !
Carine d’Inca, responsable de la coordination générale du festival du Printemps du Livre de Grenoble, nous raconte l’évènement. Entretien.
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Carine d’Inca, responsable de la coordination générale du festival du Printemps du Livre de Grenoble, nous raconte l’évènement. Entretien.
Premier tome d’une trilogie de polars se déroulant dans l’Angleterre des années 60, signé par un spécialiste de la culture underground, Du Sang sur Abbey Road raconte les Beatles, le Biafra et la Grande-Bretagne à travers un drame qui en causera beaucoup d’autres.
Vous projetez de devenir riche prochainement ? Ça tombe bien ! Cette B.D humoristique, véritable « petit guide illustré du nouveau riche » va vous permettre d’appréhender correctement votre nouvelle vie et de vous embourgoiser dans les régles de l’art. Autant dire que toute votre éducation est à refaire…
La maison d’éditions Finitude propose un recueil de l’intégralité des nouvelles, dont trois inédites, de Jean Forton, écrivain et libraire bordelais au parcours littéraire atypique et intriguant décédé en 1982.
Les Éditions de l’Olivier publient le dernier ouvrage traduit en français de Richard Ford, auteur américain né en 1944, prix Pulitzer en 1996 pour le roman Independance.
Le 15 novembre 2013, Anagramme fêtera sa vingtième année. Vingt ans que l’association porte en projet l’amour des mots en étendard. Un amour qu’elle tâche de faire partager au plus grand nombre, à travers des ateliers qui s’adressent tout autant aux passionnés et aux curieux qu’à un public dit « éloigné de la culture », tel que les étrangers nouvellement arrivés sur le territoire, les demandeurs d’asile, les prisonniers, etc.
« Tant pis : il est trop tard », conclut le narrateur. Trop tard pour ne plus devenir celui qu’il est devenu en offrant deux ans de sa jeunesse au travail de force, entre la fin de ses études et l’appel sous les drapeaux, alors que rien dans son milieu social ou familial ne l’y prédisposait.
« On s’embrassera quand même »
Parce que l’ironie parcourt ce livre de la première à la dernière page, c’est par souci d’autodérision qu’André Blanchard intitule le nouveau tome de son journal A la demande générale, lui qui sourit de ses deux mille lecteurs tout en soulignant que son éditeur s’en amuse beaucoup moins.